Jeux de bondage entre étudiantes

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il y a 3 ans
Estelle et Isabelle, 19 et 20 ans, étudiantes à la fac, se retrouvent seules dans leur dortoir un vendredi soir. Elles sont très copines et pratiquent le bondage.

Estelle voudrait pimenter leur petit jeu en jouant à la demoiselle en détresse, chacune à leur tour, elles seraient attachée et bâillonnée et devront parcourir le couloir de l'étage dans son intégralité, le petit frisson étant d'être ainsi surprise attachée.

Les deux filles sont dans leur chambre et mettent au point un scénario à respecter. Estelle se porte volontaire en premier pour se faire attacher par Isabelle. Isabelle lui demande d'enlever son pantalon pour ne conserver que le tee shirt rouge qui lui moule de corps. Estelle se retrouve en slip et cela semble l'exciter énormément.

"Il vaut mieux que tu sois "jambes nues" pour cette épreuve" dit-elle.

Isabelle prend un grand rouleau de scotch gris et commence par attacher les poignets d'Estelle dans son dos. Elle la fait mettre à genoux afin de pouvoir finir plus facilement son bondage. Elle passe le scotch autour de ses chevilles et fait plusieurs tours pour bien les fixer ensemble.

Estelle proteste et lui dit qu'elle n'arrivera pas à bouger si elle est attachée ainsi.

  • Ce n'était pas ce qui était prévu ! Dit-elle

  • Tu es trop bavarde , je vais te clouer le bec. Lui répond sèchement Isabelle.

Elle découpe plusieurs morceaux d'adhésif et les plaques sur la bouche d'Estelle qui ne peut l'empêcher de la bâillonner. L'adhésif lui ferme la bouche et elle a beau essayer de crier, aucun son ne sort.

  • Maintenant tu vas devoir te relever, et me rejoindre de l'autre coté du couloir. Je t'attends dans la salle des douches. Lorsque tu sera arrivée, je te délivrerais.

Estelle n'a d'autre solution que de se mettre à ramper à genoux car elle n'arrive pas à se redresser. Elle sort de la chambre et commence à avancer dans le couloir à très petite vitesse. Ses genoux commencent à lui faire mal lorsqu'elle se retrouve à peine à mi-distance de la salle des douches. Elle essaye d'appeler Isabelle pour qu'elle vienne abréger ses souffrances, mais ses ridicules petits sons qui sortent de sa bouche ne peuvent être entendus. Elle devra ramper jusqu'au bout du couloir. Au bout d'une bonne quinzaine de minutes elle arrive devant la salle des douches et constate avec horreur qu'Isabelle n'est pas là. Elle a écrit sur un petit morceau de papier:

"Je suis allé chercher du papier wc chez le concierge car il n'y en a plus aux toilettes. Je reviens bientôt"

Estelle est folle de rage, elle doit attendre le bon vouloir d'Isabelle et elle est contrainte d'attendre dans le couloir au risque qu'une personne la découvre attachée à moitié nue. Au bout d'un gros quart d'heure, Isabelle arrive en souriant et détache Estelle qui furieuse lui dit que c'est maintenant à son tour d'être attachée.

Elles sont toutes les deux dans la salle de douches. Isabelle est en jean, pieds nus et pull léger. Estelle lui intime l'ordre de se mettre immédiatement en slip et d'enlever son soutien gorge.

"Isabelle, je veux te voir les seins à l'air et tout de suite, ça t'apprendra à me faire attendre".

"On retourne dans la chambre" ordonne maintenant Estelle.

Une fois dans la chambre, elle fait allonger sur son lit Isabelle et prend un rouleau de scotch et des petites cordes blanches qu'elle devait avoir préparé, et lui attache les poignets dans le dos, elle fit d'innombrables tours à ses poignets.

"Tu as bien dix tours de cordes autour des poignets et des chevilles" plaisante t elle. Elle attache les coudes joints, de la même façon.

Isabelle est inquiète, "il n'y a vraiment personne, tu es sure ?" dit elle en essayant de tirer vainement sur ses liens. "Ce serait trop gênant d'être prise en flagrant délit maintenant, alors que le jeu n'est même pas commencé" Estelle demande "Tes mains sont bien attachée ?

  • Oui, c'est parfait, je ne peux pas me libérer, c'est juste que je m'inquiète un peu.

  • Cela fait partie du jeu, répond Estelle souriante."

Elle serre les genoux de sa copine l'un à l'autre et les lui attache les cordes, Isabelle est attachée de telle manière qu'il lui serra difficile de se défaire. Estelle s'agenouille pour faire les chevilles, Isabelle se met à gesticuler, autant que les liens de ses genoux les lui permettent ".

"Je ne peux pas parcourir le bâtiment comme çà, ce n’est pas évident, les liens sont trop serrés et je ne pourrait pas me redresser.

  • Oh, dit Estelle, tu ne croyais pas t'en tirer comme çà, je vais faire de toi, une vraie demoiselle en détresse, pas de demi mesure."

Estelle prend les chevilles d'Isabelle vers elle, menaçant de faire tomber sa copine. "Fais attention, je n'ai plus mes mains pour me rattraper, dit en riant Isabelle" Estelle serre bien les chevilles de sa copine l'une à l'autre et les attaches solidement grâce à de multiples tours autour des chevilles. Puis elle tire vers le haut les chevilles d'Isabelle pour les attacher à ses poignets. Elle n'a alors plus la possibilité de déplier ses jambes. Estelle se lève et ouvre un tiroir. Isabelle se dodeline, tirant sur ses liens, "regardes moi, je suis une vraie demoiselle en détresse.

  • Pas encore, il te manque un bâillon, Estelle sort un rouleau d'adhésif noir de son tiroir.

"Ferme la bouche ma petite did."

Isabelle s'exécute, Estelle lui barre la bouche avec le scotch et fait plusieurs passage sur sa bouche pour la réduire au silence.

"Voila, ma petite, tu vas rester dans cet état jusqu'à ce que je revienne".

"Finalement, je préfère que tu restes en place au milieu du couloir".

Isabelle gémit en hochant la tête, "mmphhhhhhhh". Estelle ouvre la porte de leur chambre "Je te dépose à quelques pas de la porte, à toi de rentrer toute seule dans la chambre. Débrouille toi"

Isabelle sautille pour sortir, aidée par Estelle qui la soutien, pour qu'elle puisse se rendre dans le couloir. Elle regarde à gauche puis à droite pour voir si personne n'est là et sautille jusqu'au milieu du couloir.

"La distance n'est pas grande, tu vas pouvoir y arriver toute seule".

Estelle la regarde se contorsionner gracieusement, puis elle disparaît à un tournant du couloir. Trois quart d'heures après, Isabelle a réussi à ramper jusqu'à la porte, elle pénètre dans la chambre et voit au pied du lit une ardoise. il y est écrit:

"Désolé, j'ai dû partir précipitamment, mon petit copain est revenu à l'improviste et m'a donnée rencard chez lui, je ne pouvais t'attendre plus longtemps, passe un bon week-end

Isabelle n'a plus qu'une seule solution s'allonger sur son lit et attendre sagement que quelqu'un vienne la délivrer. Heureusement pour elle, son lit est très bas et aux prix de quelques gesticulations, elle arrive à basculer son corps ou pouvoir s'y allonger. Elle se met à pleurer car elle sait qu'elle va vivre une humiliation épouvantable et qu'une fois qu'elle sera découverte dans cette état, tous les élèves seront informés de ses pratiques sexuelles. Mais n'ayant aucun moyen de se détacher toute seule elle se résigne et s'allonge à plat ventre sur son lit car les liens sont trop tendus pour qu'elle puisse se mettre sur le dos.

L'attente risque d'être longue car elle n'a aucun moyen d'appeler au secours. Le bâillon est bien trop collant et même en poussant avec sa langue elle n'arrive pas à écarter l'adhésif de sa bouche. Elle est contrainte au silence. Les heures passent et toujours personne. Elle commence à avoir mal et la position devient de plus en plus inconfortable.

Il va bientôt faire nuit et toujours personne. La hantise d'avoir à passer le week-end ainsi attachée, lui provoque une terrible torsion dans le ventre. Une irrespirable envie de faire pipi lui tenaille le ventre et elle dois serrer les dents pour ne pas se soulager sur le lit. Les heures passent et il fait maintenant nuit. Il doit être selon ses calculs environ huit heures du soir et plus aucun espoir de voir quelqu'un arriver.

Soudain, c'est l'horreur, elle ne peut plus se contenir et doit s'avouer vaincue par sa vessie. Elle essaye bien de se retenir, mais elle sent un liquide chaud qui coule entre ses cuisses. C'est la honte suprême, elle vient de se pisser dessus. Elle a beau serrer les cuisses, sa vessie continue inexorablement à se vider. Elle est trempée et une grande auréole jaune occupe maintenant une bonne partie du lit.

Elle essaye de se déplacer sur le coté afin de s'allonger sur une partie sèche du lit. Ses mouvements sont gênés par les liens qui sont extrêmement bien faits. Isabelle arrive enfin à trouver un coin du lit ou elle peut essayer de se détendre. Fatiguée et vaincue par cette nouvelle humiliation elle finit par s'assoupir.

Quelques heures plus tard, elle est réveillée par une nouvelle envie. Mais cette fois, c'est bien plus grave, car il ne s'agit plus d'une envie de faire pipi, mais d'une furieuse envie de se soulager "l'arrière train".

Elle commence à suer à grosses goûtes car elle est obligée de serrer ses sphincters au maximum. La pression devient de plus en plus difficile à supporter et elle commence à regretter l'énorme ventrée de tagliatelles quelle a engloutie hier au soir. Comme depuis elle n'est pas allée aux toilettes, le petit déjeuner et le repas de midi ne font qu'empirer la chose.

Elle a le ventre plein et elle comprends qu'elle ne pourra passer la nuit sans se soulager.

Isabelle sent bien qu'elle ne va pas pouvoir se retenir bien longtemps. Elle se mord les gencives pour essayer de ne plus penser, mais au fond d'elle même, Isabelle a déjà accepté la terrible sentence. Ce n'est qu'une question de temps.

Après un bonne heure de lutte, elle capitule et s'effondre en larmes en constatant que ses sphincters viennent de lâcher. Elle sent son anus se dilater pour laisser le passage. Rien ne pourra plus arrêter ni contenir cette expulsion qu'elle a essayer de retarder au maximum. Elle se glisse sur le coté pour essayer d'évacuer ses excréments le mieux possible. Mais cette manœuvre la fait glisser du lit et dans un vacarme assourdissant elle tombe de tout son poids sur la moquette de la chambre.

Son rectum continue à se vider et elle sent à chaque passage dans son anus les matières fécales qui viennent tacher le sol. Isabelle ne sait plus comment arrêter ce flot continu qui lui souille le corps et qui commence à s'imprégner dans la moquette. Elle croit avoir atteint le comble de l'horreur quand la porte de la chambre s'ouvre et elle voit en face d'elle le visage effaré d'Estelle, qui découvre le spectacle hallucinant d'Isabelle au sol couverte de ses propres déjections et qui se tortille dans tous les sens pour tenter de stopper cette "hémorragie rectale".

"Mais c'est quoi ce bordel" dit-elle !

"Je m'en vais simplement quelques heures et tu en profites pour jouer à la petite fille qui ne sait pas se retenir".

Elle détache rapidement Isabelle et l'envoi se laver. L'odeur est épouvantable dans la chambre et il va falloir tout nettoyer avant lundi. Estelle attend Isabelle dans le couloir et lorsqu'elle la voit revenir propre, elle lui annonce qu'elle va devoir tout nettoyer.

"Va chercher de quoi nettoyer ta m e r d e et commence immédiatement, moi, je m'en vais pour de bon".

Le week-end sera pour Isabelle effectivement très long.

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Très joli récit, la prochaine fois il mettrons des couches...!
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